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Chronologie de mon Organisation Cognitive
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Article mis en ligne le 24 février 2020
dernière modification le 23 avril 2020

par Matthieu Giroux

Je remarque que le temps s’accélère quand il fait nuit. Il s’agit sans doute de l’influence des esprits dormant à ce moment là.

J’écris ici une observation du temps, temps souvent analysé médiatiquement. Mon temps s’organise comme ceci :

  1. Pensée
  2. Confrontation
  3. Écran
  4. Réflexions
  5. Rêve
  6. Dialogue ou écriture

Cette harmonie artificialisée me permet donc ici d’aboutir à des dialogues et des écrits. Le principe de cette harmonie est de dépasser l’ennui pour permettre créativités.

Pour se protéger de l’artificiel de l’écran, notre esprit peut se mettre dans une situation de rêves quand il voit du surréaliste. Alors le temps passe vite, sauf si on commence à s’ennuyer, ennui nous montrant des répétitions le plus souvent. Créer consiste à changer de domaines contre cette régularité.

Notre esprit peut reconnaître facilement cette situation de rêves parce qu’il ne décèle pas d’âme alors en face de lui.

Quand le temps me semble statique il est lent. Ma pensée est alors confrontée à ce que j’ai accumulé en rapport avec ce que je voudrais faire. Le temps s’accélère quand je pense à quelque chose que j’aime.

Donc la réflexion engagée semble importante. Une confrontation sans chemin de vérité ou sans objectif accepté ne peux être réflexive. Donc elle passe plus lentement.

Le temps réflexif d’accaparement se fait avec des pauses et passe très très vite. Le temps réflexif de transformation passe très très vite au départ puis passe de moins en moins vite avec des pauses nous faisant ensuite ouvrir les yeux autour de nous.

Le temps réflexif de transformation mais surtout d’accaparement sont donc des situations d’accélération du temps. Se confronter au réel permet donc une transformation redoutée puis idéalisable parce que nous finissons par ralentir notre temps.

Nous voulons alors préserver ce temps de transformation donnant envie de créer ou d’écrire pour le répéter. Cela se fera plus rapidement donc cela nous incitera à le changer pour créer de nouveau.

Le temps de dialogue et le temps d’écriture peuvent alors accélérer de nouveau le temps, nous incitant à nouveau à créer parce que nous croyons avoir retrouvé ce temps de transformation s’accélérant puis ralentissant. C’est pour cette transformation que nous nous croyons alors costaud, pour ce dialogue ou cet écrit donc.


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